C’est une bonne chose de programmer à l’avance

Car c’est en lui que Dieu a dit « oui » à tout ce qu’il avait promis. Aussi est-ce par lui que nous disons « oui », « amen », pour que la gloire revienne à Dieu. (2 Corinthiens 1.20 SEM)

 Personne ne sait ce que l’avenir nous réserve. Nous sommes prompts à souhaiter une « bonne année » le 1er janvier, mais en fait nous avons très peu d’emprise sur la façon dont les choses se dérouleront.
 C’est une bonne chose de programmer à l’avance et de jeter des bases solides dans notre vie personnelle et professionnelle, mais dès le départ nous savons que l’année sera pleine d’événements et de circonstances que nous n’avions pas prévus, et que notre capacité à les influencer sera limitée.
 Toutefois, ce n’est pas forcément mauvais, si cela nous rappelle qu’au bout du compte, c’est entre les mains de Dieu que nous et nos proches serons le plus heureux et le plus en sécurité. Peut-être qu’au lieu de souhaiter les manifestations extérieures de bonheur aux êtres qui nous sont chers, devrions-nous leur souhaiter d’être connectés à la source de ces bénédictions, notre Père qui nous aime et a promis : « Je ne te laisserai pas : non, je ne t’abandonnerai jamais. »
 Que cette année nous apporte la prospérité ou l’adversité, la santé ou la maladie, l’amour ou le chagrin, nous avons l’assurance de l’amour de Dieu et de sa présence, de sa capacité à répondre à nos prières et de sa détermination à faire en sorte que tout contribue au bien de ses enfants et de ceux qui L’aiment. Dieu n’oublie jamais ses promesses et Il ne se trouve jamais dans l’incapacité de les honorer.
 Que Dieu vous bénisse de sa présence et de sa bienveillance tout au long de l’année qui vient de commencer. —Samuel Keating [1]

 Hier n'est plus, demain n'est pas encore. Nous n'avons qu'aujourd'hui. Commençons. —Mère Teresa (1910–1997)

[1] L’Ancre Des vœux différents pour le nouvel an

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Parfois, nous devenons trop sûrs de nous-mêmes